Me voilà de retour devant le clavier après une pause de 2 semaines
Depuis notre retour nous travaillons dehors aussi les post publiés
étaient programmés.
Aujourd'hui, je viens évoquer notre ballade en Lot et Garonne
qui a duré 1 semaine
Comme vous vous en doutez Léo était du voyage et en bonne place
Notre première visite a été pour le château de Bonaguil.
Nous y étions venus en 2010 et je vous en ai parlé dans cet article
aussi j'ai pris peu de nouvelles photos.
Lee participants à la sortie sont sur le parking.
et dès l'arrivée au pied du château, Léo est sous le charme du tapis
verdoyant parsemé de pâquerettes.
Il en a fait un petit bouquet qu'il a offert galamment à Jazz à son retour
A l'intérieur du château, ce dragon a attiré mes regards
Léo découvre..
Il a l'air d'un Lilliputien sur cet escalier
Quelques tapisseries "La dame à la licorne"
Au revoir Bonaguil : du haut de la tour
20 kms plus loin, nous sommes à Saint Avit pour une visite du musée Palissy
pour une exposition de céramiques contemporaines de Claude Varlan
Une borne kilométrique revue.
La mousse est réelle
Bernard Palissy, 1510 / 1589 est un potier, émailleur, peintre, verrier,
écrivain et savant français.
Il consacrera vingt ans de sa vie à découvrir le secret des émaux
Ses pièces les plus connues sont cependant les vases, statuettes, bassins,
plats, ustensiles divers auxquels il attribue le terme de rustiques figulines.
Ces céramiques à décors naturalistes en relief incluent des fruits, des
feuilles ou des reptiles :
( Une idée de freeForme un jour peut-être ? )
Quelques jolies créations "figulines" de maîtres céramistes
inspirées des créations de Bernard Palissy
Notre Firmin y trouverait sa place
Nous terminerons cette visite avec une scène qui éveille la curiosité de Léo
Il s'est invité à la table
Nous rentrons pour l'hébergement de nuit et nous irons demain visiter
le joli village de Monflanquin.
C'est une Bastide sur une colline classée comme l'un des plus
beaux villages de France
La bastide de Monflanquin surplombe des paysages décrits par Stendhal
comme ceux d’une "petite Toscane".
Nous reprenons la route