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Par pipiou13 le 28 Octobre 2017 à 21:02
Je suis restée bien longtemps sans vous allécher avec les tentations du Net
Comme Noël approche à grands pas,je pense que ces tutos pourraient
peut-être intéresser certaines de vous.
Il vous faut simplement une bouteille de 5L d'eau vide ....
Pour ce modèle,
cliquez ici : Berceau 1
même si l'article est en russe,le pas à pas est suffisamment
parlant pour le réaliser.
**************************
Réalisés de la même façon,voilà le berceau et sac de transport
en toile vichy :
******************
Je vous souhaite une bonne soirée et un bon dimanche....
22 commentaires -
Par pipiou13 le 15 Décembre 2016 à 10:59
Bonjour à toutes
Aujourd'hui je me fais l'interprète de Fabienne, une fidèle amie de mon blog
qui nous a souvent régalé de ses créations Barbie ou autres.
La semaine dernière,elle m'a envoyé un mail, quelques soucis ont
fait que j'ai regardé les photos qu'elles m'envoyaient et lu son courriel
sans approfondir. Ce matin, j'ai tout suivi et, séduite par son idée,
je vous le dévoile dans l'ordre :
Ses dires :
Je te joins ma princesse grenouille, réalisée toute en maille serrées
(d'après des explications en allemand.)
Elle est faite avec un crochet du 2,5 et mesure 30 cm.
C'est pour une amie russe dont le pt'it bout doit arriver à la fin de l'année.
Comme je ne suis pas très forte en layette, j'ai préféré illustrer un conte très
populaire là bas, qu'elle lui fera connaître lorsqu'il sera un peu plus grand...
Maintenant voilà les 2 photos jointes de SA grenouille..
Je ne veux pas imiter Lolo qui nous propose chaque jour un conte ...
mais en vous proposant celui qui va suivre, vous allez être sous le charme
et peut-être vous laissez tenter vous aussi par ce projet de Fabienne
de Dame grenouille.
Installez-vous bien...et si des enfants sont dans les parages,
invitez les à venir vous écouter.
Reine-Grenouille :
En un certain royaume, en un certain État, vivaient un tsar et fils,
tous troisjeunes et si vaillants, si bien faits que la plume se refuse
à les dépeindre,la bouche à les conter !
Le plus jeune s'appelait prince Ivan.
Lorsqu'ils furent en âge de se marier, le roi les réunit et leur dit :
«Mes fils bien-aimés, avant d'être vieux, j'aimerais bien vous marier afin
de pouvoir contempler vos enfants, mes petits-fils et petites-filles.»
Les trois fils répondirent à leur père: «Qu'il en soit selon ta volonté, père,
donne-nous ta bénédiction. Qui désires-tu nous donner pour femmes?»
«Eh bien, voici, mes fils; prenez vos arcs, sortez en rase campagne et
tirez une flèche: là où la flèche tombera, votre destin vous attendra.»
Les fils du roi s'inclinèrent devant leur père; ils prirent chacun une flèche,
sortirent en rase campagne, puis tendirent leurs arcs et tirèrent.
La flèche de l'aîné tomba dans la cour d'un seigneur, et la fille du seigneur
la ramassa. La flèche du cadet tomba dans la vaste cour d'un riche marchand,
et la fille du marchand la ramassa. Quant au benjamin, le prince Ivan,
sa flèche s'éleva dans les airs et s'envola pour aller atterrir nul ne savait où.
Le prince Ivan dut marcher, marcher et marcher pour retrouver sa flèche.
Il arriva enfin près d'un étang et que vit-il?.. Une grenouille qui tenait la
flèche entre ses pattes. Le prince Ivan lui dit: «Grenouille, grenouillette,
rends-moi ma flèche.» Mais la grenouille lui répondit: « Prends-moi pour épouse !»
«Tu n'y penses pas! Comment puis-je épouser une grenouille !»
«Crois-moi, tel est ton destin.» Le prince Ivan se désespéra. Mais que faire?
Il prit donc la grenouille et la ramena chez lui. Le roi organisa trois festins
magnifiques: il maria son fils aîné à la fille du seigneur, il maria son fils
cadet à la fille du marchand et il maria le pauvre prince Ivan à la grenouille
Le roi, un jour, convoqua ses fils: «Je veux savoir laquelle de vos femmes est
la plus habile de ses doigts. Qu'elles me cousent une chemise pour demain.»
Les trois fils s'inclinèrent devant leur père et s'en furent.
Le prince Ivan revint chez lui, s'assit et se prit la tête entre les mains.
Et la grenouille sur le plancher de sauter et de lui demander:
«Pourquoi, prince Ivan, as-tu la tête basse? Aurais-tu donc quelque chagrin?»
«Mon père ordonne que tu lui couses une chemise pour demain.»
La grenouille alors répondit: «Ne t'afflige pas, prince Ivan, va plutôt dormir:
la nuit porte conseil.» Le prince Ivan s'en alla dormir, et la grenouille
sauta d'un bond sur le perron; elle rejeta sa peau de grenouille et
se transforma en Vassilissa la Sage, dont la beauté est bien plus grande
que contes ou légendes ne peuvent la décrire. Vassilissa la Sage frappa
dans ses mains et s'écria: «Mes nounous, hâtez-vous, préparez-vous!
Cousez-moi pour demain matin une chemise aussi belle que celle que porte mon père.»
Le lendemain matin, le prince Ivan s'éveilla, vit la grenouille sur le plancher
et la chemise sur la table enveloppée dans une serviette. Comme il se réjouit !
Il apporta la chemise à son père. Le roi était en train de recevoir les présents
que lui avaient apportés ses fils aînés. Le plus âgé déplia sa chemise, le roi la
regarda et déclara:
« Cette chemise est bonne à porter dans une isba enfumée !»
Le fils cadet déplia sa chemise, et le roi s'écria:
«Elle est bonne pour aller au bain ! » Alors le prince Ivan déplia sa chemise,
ornée de merveilleux dessins en fils d'or et d'argent.
Le tsar s'exclama en la voyant:
«Voilà une chemise à porter les jours de fête!»
En revenant chez eux, les deux frères aînés se dirent tout étonnés:
«Certes, nous avions bien tort de nous moquer de l'épouse du prince Ivan;
elle n'est pas simple grenouille, mais véritable sorcière.»
Le roi fit à nouveau appeler ses fils: «Que vos épouses me cuisent du pain
pour demain matin? Je veux savoir quelle est celle qui cuisine le mieux.»
Le prince Ivan baissa la tête et revint chez lui. Alors la grenouille lui
demanda: «Pourquoi as-tu du chagrin?» Et Ivan répondit: «II te faut préparer
un pain pour le donner au roi demain.» «Ne t'afflige pas, prince Ivan, va plutôt
dormir, la nuit porte conseil.»
Quant aux épouses des deux frères, qui d'abord s'étaient tant
moquées, elles envoyèrent une vieille servante pour bien observer et
venir leur raconter comment la grenouille ferait cuire le pain.
Mais la grenouille était rusée et elle avait tout deviné !
Elle pétrit la pâte, puis perça un trou en haut du four et y jeta la pâte !
La vieille servante s'empressa de tout répéter à ses maîtresses, et celles-ci
aussitôt firent de même. La grenouille d'un bond sauta sur le perron, redevint
Vassilissa la Sage, puis dans ses mains elle frappa:
«Mes nounous, hâtez-vous, préparez-vous ! Faites cuire pour demain un
bon pain blanc, le pain blanc que je mangeais chez mon père.»
Lorsque le prince Ivan s'éveilla le lendemain matin, il trouva
sur la table un pain merveilleusement décoré: des arabesques étaient incrustées,
sur ses flancs et dessus se dressaient des villes entourées de leurs remparts.
Comme il se réjouit! Il enveloppa le pain dans une grande serviette et
l'apporta à son père. Le roi était en train de recevoir les pains que lui
apportaient ses fils aînés. Mais leurs épouses avaient mis la pâte au four
comme le leur avait dit la vieille servante et n'avaient ainsi obtenu qu'une
horrible saleté complètement brûlée. Le tsar prit le pain que lui tendait
son fils aîné, le regarda et le renvoya à l'office. Puis il prit le pain que lui
tendait son fils cadet, et le renvoya aussi à l'office. Mais lorsqu'il vit le pain
du prince Ivan, le roi s'écria:
«Voilà un pain à manger les jours de fête ! »
Et le roi convia ses trois fils à venir le lendemain, avec leurs épouses,
assister à un festin. Une fois de plus le prince Ivan s'en revint chez lui
tout triste et la tête basse. Et la grenouille sur le plancher de sauter
et lui demander: «Pourquoi as-tu du chagrin, prince Ivan, ton père t'aurait-il
mal accueilli?»
«Grenouille, grenouillette, comment ne pas m'attrister? Mon père ordonne
que j'assiste demain avec toi à un festin, mais à qui oserai-je te montrer?»
La grenouille répondit:
«Ne t'afflige pas, prince Ivan, rends-toi seul au festin, moi, je te rejoindrai plus tard.»
Lorsque tu entendras un grand bruit de tonnerre, ne t'effraie pas.
Si on t'interroge, réponds:
«C'est ma grenouillette qui arrive dans sa cassette.»
Le prince Ivan alla donc seul au festin. Ses frères aînés arrivèrent avec leurs
épouses bien vêtues, fort parées, les joues et les sourcils fardés.
Ils rirent et se moquèrent du prince Ivan :
«Pourquoi donc es-tu venu sans ta femme? Tu aurais pu nous l'amener
dans un mouchoir! Où donc as-tu trouvé une telle beauté? Tu as dû longtemps
chercher de par tous les étangs!»
Le roi, ses fils, leurs épouses et les invités s'assirent autour des tables
de chêne couvertes de nappes brodées, et tous se mirent à festoyer.
Mais on entendit soudain un grand bruit de tonnerre qui fit trembler
tout le palais. Les invités épouvantés se levèrent d'un bond, mais le prince
Ivan les rassura :
«Ne craignez rien, chers invités; c'est ma grenouillette qui arrive dans sa cassette.»
Une calèche dorée, par six chevaux blancs- traînée, vint s'arrêter aux portes
du palais ; et voilà qu'en sortit Vassilissa la Sage, vêtue d'une robe azurée
ornée d'étoiles et portant sur la tête un croissant de lune; sa beauté était bien
plus grande que ne peuvent la décrire contes ou légendes.
Elle prit le prince Ivan par la main et le mena vers les tables de chêne couvertes
de nappes brodées. Et tout le monde se remit à manger, à boire et à se réjouir.
Vassilissa la Sage prit un verre, but, puis versa le vin qui restait dans sa
manche gauche. Elle mangea un morceau de cygne et jeta les os dans sa
manche droite. Les épouses des fils aînés virent sa ruse et l'imitèrent !
Après avoir bu et mangé, on se mit à danser. Vassilissa la Sage prit le prince
Ivan par la main et le conduisit au milieu de la salle. Elle dansa, dansa, tourna,
tourna, et tout le monde s'émerveilla.
Un geste de sa main gauche, et un lac apparut.
Un geste de sa main droite, des cygnes blancs nagèrent.
Le roi, ses invités, tous furent enchantés. Puis les épouses des fils aînés se
mirent elles aussi à danser: un geste de la main gauche, et le vin jaillit
de leur manche pour éclabousser les pauvres invités.
Un geste de la main droite, et de leur manche s'échappèrent les os;
l'un d'eux atterrit en plein dans l'œil du roi. Celui-ci, courroucé, chassa
ses deux belles-filles.Pendant ce temps, le prince Ivan s'en était allé
discrètement; chez lui, il retrouva la peau de grenouille et la brûla.
Une fois rentrée, Vassilissa la Sage se mit à chercher la peau de grenouille,
mais elle ne put la trouver. Affligée, désespérée, elle s'assit sur un banc et
déclara au prince Ivan :
«Hélas, hélas, prince Ivan, qu'as-tu fait! Si tu avais attendu encore trois jours,
j'aurais été à toi pour toujours, mais maintenant je dois te dire adieu. Pour me
retrouver il te faudra aller au-delà des mers et des terres, chez Kochtchéi l'Immortel.»
Vassilissa la Sage se transforma en un coucou gris et s'envola par la fenêtre.
Le prince Ivan pleura longtemps, puis il s'inclina vers le Nord, l'Occident,
le Sud et l'Orient et partit droit devant lui pour retrouver son épouse
Vassilissa la Sage. Alla-t-il loin, bien loin ou très près, marcha-t-il longtemps,
bien longtemps ou un bref moment... ses bottes étaient toutes usées,
sa tunique déchirée, sa toque rongée par les pluies.
Il rencontra alors un petit vieux chargé d'ans.
«Bonjour, brave jeune homme! Que cherches-tu et où vas-tu?»
Le prince Ivan lui raconta ses malheurs. Le petit vieux lui dit alors:
«Ah, prince Ivan, pourquoi as-tu brûlé la peau de grenouille? Ce n'est pas toi
qui la lui avais mise, ce n'était pas à toi de l'ôter. Vassilissa la Sage est maligne,
sa sagesse est plus grande encore que celle de son père. Celui-ci s'en est
vexé et il l'a condamnée à être grenouille trois années durant. Qu'y faire!
Prends la pelote que voici et où elle roulera, hardiment suis-la.»
Le prince Ivan remercia le petit vieux et suivit la pelote. Et la pelote de rouler,
et le prince de marcher. En pleine campagne, il rencontra un ours;
il le visa et voulut le tuer. Mais l'ours soudain se mit à parler:
«Ne me tue pas, prince Ivan, je te serai utile un jour.»
Le prince Ivan eut pitié de l'ours et ne le tua pas. Il continua son chemin.
Soudain que vit-il?... Un canard sauvage qui volait vers lui. Il le visa. Mais le
canard se mit à parler et lui dit:
«Ne me tue pas, prince Ivan, je te serai utile un jour.»
Le prince Ivan eut pitié du canard sauvage et continua son chemin.
Soudain voilà qu'accourut un lièvre. Le prince Ivan s'apprête à lui décocher
une flèche, mais le lièvre se mit à parler et lui dit :
«Ne me tue pas, prince Ivan, je te serai utile un jour.»
Ivan eut pitié du lièvre et continua son chemin. Il arriva au bord de la mer
bleue et vit un brochet sur le sable ; celui-ci respirait à peine et lui dit :
«Oh, prince Ivan, aie pitié de moi, rejette-moi dans la mer bleue!»
Il rejeta le brochet à la mer et continua de marcher sur le rivage.
Longtemps, longtemps ou un bref moment... La pelote continua de rouler
et l'emmena dans une forêt. Là se dressait une isba montée sur des
pattes de poulet et qui ne cessait de tourner.
«Isba, petite isba, reprends ta place, celle qui t'a été donnée: tourne le dos à
la forêt et tourne vers moi ton entrée.»
La petite isba tourna le dos à la forêt et vers Ivan son entrée. Le prince Ivan
entra et que vit-il?... Sur le poêle, sur la neuvième brique, était couchée la sorcière
Baba-Yaga : ses énormes dents acérées traînaient jusqu'au plancher, son nez
crochu et démesuré montait jusqu'au plafond !
«Que me veux-tu, bon jeune homme? Accomplis-tu un haut fait, ou fuis-tu
quelque méfait?»
«Eh là! La vieille, donne-moi à boire, nourris-moi, prépare-moi un bain, et ensuite
tu me questionneras!»
Baba-Yaga lui prépara un bain, lui donna à manger, puis le mit au lit ;
alors le prince Ivan lui raconta qu'il cherchait son épouse Vassilissa la Sage.
«Je sais, je sais, dit Baba-Yaga , ton épouse est chez Kochtchéi l'Immortel.
La retrouver sera compliqué, tuer Kochtchéi n'est pas chose aisée: sa mort
est au bout d'une aiguille, cette aiguille est dans un œuf, cet œuf est dans une cane,
cette cane est dans un lièvre, ce lièvre est dans un coffre de pierre, ce coffre
est sur un très haut chêne, et ce chêne, Kochtchéi l'Immortel le garde comme
la prunelle de ses yeux. »
Le prince Ivan passa la nuit chez la sorcière Baba-Yaga ; le lendemain matin,
elle lui expliqua où se trouvait le grand chêne.
Marcha-t-il longtemps, longtemps ou un bref moment..., enfin le prince Ivan
arriva en un lieu où il vit un grand chêne qui murmurait dans le vent, et sur
le chêne un coffre de pierre fort difficile à atteindre.
Soudain, venu l'on ne sait d'où, arriva un ours qui déracina le grand chêne.
Le coffre tomba et se brisa. Un lièvre bondit du coffre et s'enfuit à toute allure.
Un autre lièvre bondit à sa poursuite, le rattrapa et le mit en pièces.
Une cane sortit du lièvre et s'envola haut, très haut dans le ciel. Mais un
canard sauvage s'élança et frappa la cane qui laissa alors tomber un œuf,
et l'œuf se perdit dans la mer bleue...
Le prince Ivan se mit à pleurer amèrement:
comment retrouver un œuf dans la mer ! Mais un brochet s'approchait du
rivage, l'œuf entre les dents. Le prince Ivan cassa l'œuf et en sortit l'aiguille
dont il brisa la pointe. Il la brisa, et Kochtchéi l'Immortel se démena et
se débattit. Mais il eut beau se démener, le prince Ivan parvint à ses fins.
Ainsi mourut Kochtchéi.
Le prince Ivan pénétra dans le palais blanc de Kochtchéi.
Vassilissa la Sage accourut vers lui et embrassa ses lèvres de miel.
Le prince Ivan et Vassilissa la Sage s'en revinrent chez eux, où ils vécurent
longtemps et furent très heureux.
D'être là encore...Je ne sais pas ce que vous en pensez mais personnellement,
ne connaissant pas ce conte , je me suis laissée emporter par sa magie.
Maintenant que nous connaissons l'histoire de Reine-Grenouille,
que pensez-vous de l'idée de Fabienne ?
Si vous voulez la faire vôtre, c'est à dire :
réaliser la Reine-Grenouille...en imprimant le conte
afin de l'offrir en cadeau de naissance ou même à petit plus grand !!!
Fabienne m'a envoyé le PDF ( en allemand mais avec des images pas à pas
en gros plan très facile à comprendre)
Ce sera avec plaisir que je vous les enverrais
Si vous êtes abonnée à ma newsletter bien entendu
Encore merci Fabienne, tu m'as offert un bien beau moment de
douceur ce matin..
A certaines d'entre vous aussi peut-être ????
49 commentaires -
Par pipiou13 le 14 Novembre 2016 à 10:47
C'est la question que m'a posé Fabienne, une fidèle abonnée qui n'a
pas de blog. Et voilà le pourquoi et sa tentation :
J'ai eu envie de changer de mannequin...me dit-elle en voyant :
voilà les photos de mes réalisations :
Je ne retrouve plus le lien qui m'a permis de télécharger l'ensemble du
livre anglais en .jpg, mais heureusement j'ai tout sauvegardé sur mon disque.
C'est à disposition pour toi ou tes abonnées.
Mais surtout ne pas tenter sans les explications car ce sont des proportions
que l'on a pas l'habitude de crocheter et il y a des astuces pour faire les membres
*****************
Merci beaucoup Fabienne de partager tes trouvailles et de nous en
faire profiter .Il est vrai que ces modèles nous changent des mensurations
de Barbie. Tu as croqué ces personnages à la perfection et je me fais
ton interprète :
Si ce modèle vous intéresse et que
vous êtes abonnée à la newsletter de Pipiouland
Le Dragon des îles se fera un plaisir de vous envoyer les explications
PS : je tiens à préciser qu'il s'agit des explications
originales, elles sont donc en anglais.
50 commentaires -
Par pipiou13 le 7 Avril 2016 à 15:50
Ah si je savais !!! Les perles ? je n'ai jamais vraiment essayé ce loisir et
pourtant !!! Que de jolies choses je vois passer sur certains blogs !
Je suis toujours admirative du savoir-faire et de la patience des perleuses
C'est à elles que j'ai pensé en enregistrant des photos glanées au fil de mon surf
sur le NET.
Je vous en fait profiter et peut-être que ces images deviendront
des "Tentations du Net" pour quelques copinettes.
Admirez :
( cliquez sur l'image pour accéder au site auteur)
Je les trouve tous ma-gni-fiques
Je n'ai pas enregistré tous les liens mais si vous cherchez des idées,vous
pouvez vous rendre sur cet album Pinterest
Merci Ellioth...
Je profite de la parution de ce billet pour répondre à des commentaires
laissés sous certains articles..
1 ) En ce qui concerne les pubs qui apparaissent sur certains blogs
(dont le mien paraît-il alors je ne les vois pas !)
Auparavant les blogueurs qui acceptaient la pub étaient rémunérés
Dorénavant vous devez payer si vous ne voulez pas de pub !!!
On n'arrête pas le progrès !!!!
Pour échapper à la pub qui s'affiche :
Il vous suffit de cliquer sur la touche F5 de votre clavier et la pub s'arrête ..
2 ) Sous quel pseudo paraît ma page Pinterest ...
Vous avez juste à cliquer sur le lien qui s'affiche à droite sur ma page
d'accueil en tête du module "mes albums"
Sinon :
Mon nom de membre est Joce de Pipiouland
51 commentaires -
Par pipiou13 le 8 Mars 2016 à 12:31
Ben oui..Bonjour en multilingue car je viens faire appel aux bonnes volontés
J'ai encore craqué pour une tentation du Net !!!
Il s'agit d'un point offert par MYPicot mais en anglais
J'ai demandé la traduction par Google mais ce n'est pas bien clair
Il n'y a que 6 rangs...peut-être l'avez vous déjà traduit pour vous même ?
Autant vous dire que j'ai déjà pioché dans ma réserve de laine et associé
des couleurs.
Ce point là : je l'aurais ????
Il se trouve ici : MyPicot
14 commentaires
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